Viens, courons vers les pâturages du soleil,
Là où les ombres s'évanouissent,
Ne laissant derrière elles que des fils de brume.
Viens, embrassons le pic noir,
Et gravons nos noms sur les troncs de ses rochers,
Empreints de vigueur et de gloire.
Ô commencement...
Là... seulement là,
Je saignerai ma fin.
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