Le printemps a jeté son manteau et est parti,
Après avoir enfoui ses restes au plus profond de lui-même.
Toutes les prairies ont soupiré,
Et se sont préparées au déluge
Venant des océans de nuages noirs.
Abritez-moi...
Mon automne se joue de moi,
Agite mes nerfs,
Me traîne vers l'inconnu.
Tendez-moi la main et sauvez-moi.
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