Guéris ma maladie…
Délivre-moi des filets de l'ennui
Qui me guettent.
Car mon sommeil me tourmente dans mon exil,
Il brise mon être,
Il déforme le visage de mes rêves,
Et coupe mon souffle par les sanglots de mes désirs.
Couvre-moi de ta joie éternelle,
Ô ma patrie.
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