Dès que la chaleur s'intensifie,
Je me réfugie dans les forêts de pins
Nichées au sommet de la colline verdoyante.
Là, j'ai un hamac
Et un lit de paille.
J'oublie mon être empli de péchés,
Et je vagabonde avec mon inconscient,
Et je me noie dans le silence,
Chaque fois que j'entre dans ce sanctuaire de beauté,
Et que je respire le parfum des pins.
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