Apaise tes lamentations, ô vent,
Car tu as blessé mes oreilles,
Et les as remplies de la poussière de ta désolation,
Et je suis faible devant toi,
Tu joues avec moi
Comme avec une feuille d'automne,
Dont les nervures sont envahies par la sécheresse,
Et que l'arbre a abandonnée !
**