...Et lorsque tu te parais
De l'éclosion de la féminité,
Mon jardin s'accrochait à l'ourlet de ta robe
Et s'embaumait !
Ô toi qui dessines ton visage sur mes pages,
Qui nages dans la mer de mon désir,
Qui surgis comme un rêve de mes longues nuits d'insomnie.
À tes portes, mon attente est douce.
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